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Michel Delord
Pour ses textes sur les maths, voir Michel Delord (mathématiques).
Ses sites : Michel Delord 2003 Michel Delord 2005 Michel Delord 2009 Michel Delord 2011
http://michel.delord.free.fr/txt-md-lecture.html
Ces textes ont pour point de départ un point non choisi au hasard, la critique de l'affirmation de Roland Goigoux "les élèves devaient ... apprendre à lire avant d'apprendre à écrire" car il s'agit d'une inversion et d'une attaque des positions historiques des pédagogues de l'Instruction Publique sur LE point fondamental de leur doctrine sur la lecture.
200523/03/2005 - M. Goigoux et les références scientifiques.
12/12/2005 - M. Goigoux et les méthodes de lecture.
20/12/2005 - Trois mois ou trois ans et trois mois ?
28 Janvier 2005 - La Globale et la Syllabique.
200627 février 2006 - La Globale et La Syllabique. Complément : L’enjeu central des programmes de maternelle.
20 mars 2006 - La Globale et La Syllabique. Complément : Écriture-lecture ou le cadavre dans le placard.22 Avril 2006 - Réponse à Frédéric Prat : Extrait de Bref historique des méthodes de lecture - Michel Delord - Journées de Gien.
09 Mai 2006 - Réponse à J.-P.Brighelli : 'La méthode Boscher n’est pas une méthode de lecture' ou 'Ne pas confondre Couteau et Service trois pièces'.
20101er décembre 2010 - A propos des méthodes de lecture et du statut de la maternelle
I ) Écriture globale
II) Pauline Kergomard
III) Déchiffrage
201226 mars 2012 : Apprendre à Lire et à Écrire : de l’importance des différents systèmes d’écriture.
31 avril 2012 : Réponses rapides aux messages de Bernard Wemague, Bad Wolf et Thierry Venot
1er mai 2012 : L'identification abusive de la langue orale et de la langue écrite
04 mai 2012: Constante macabre : de 2006 à 2012, la position des antipédagos sur SOS Education et l’enseignement de la lecture.
20133 novembre 2013 : Sauvons l'emploi de Roland Goigoux, des historiens et des journalistes d'investigationPetit débat avec Thierry Venot sur l'écriture-lecture (mars 2012)
Comment pouvoir bien tenir son crayon ?
RCP comme redoublement en CP ? (Pour la restauration du Cours Préparatoire)
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Présentation dans le texte http://michel.delord.free.fr/re-bwbwtv-31042012.pdf : Je ne suis pas mathématicien au sens où je n’ai jamais fait de recherche mathématique. Je suis simplement professeur certifié de mathématiques. Mes diplômes se réduisent à une « licence d’enseignement » qui permettait de passer le CAPES. Elle ne comportait que 3 demi-certificats alors qu’il fallait deux certificats pour avoir la licence complète, celle qui permettait de présenter une maîtrise. Ceci dit, j’ai travaillé en autodidacte et si je ne suis pas mathématicien j’ai de bonnes connaissances en mathématiques pour un professeur de collège et de bonnes connaissances en histoire pour un professeur de mathématiques.
Par contre il est vrai que j’ai été élu deux fois de suite - on ne peut le faire trois fois - au CA de la Société Mathématique de France et que j’ai été le premier non membre de l’enseignement supérieur à y être élu. Ceci s’est passé de la manière suivante : je ne trouvais en France aucun support à ce que j’avançais et notamment le fait qu’il fallait se préoccuper d’abord et prioritairement de l’enseignement primaire. Lorsque l’internet public s’est créé, j’ai pris contact avec des mathématiciens américains qui eux s’intéressaient fortement au primaire et écoutaient ce que l’on disait avant de scruter vos diplômes, Ce sont eux qui m’ont mis en contact avec des mathématiciens français, notamment Jean-Pierre Demailly qui ne s‘intéressait d’ailleurs pas au primaire quand j’ai pris contact avec lui en mars 2000 au moment où il a rendu public son « Cri d’alarme sur l’enseignement des mathématiques et des sciences au Lycée et à l’Université » et c’est notamment lui qui m’a conseillé de me présenter au CA de la SMF en 2002 (et qui par son renom et sa réputation a fortement aidé à mon élection).
Ceci dit, si j’ai été déchargé de cours trois ans pour le GRIP - de 2006 à 2008 -, je ne voudrais pas que l’on oublie que j’ai professé au total, une fois titulaire, trente trois ans en collège et en enseignant le plus souvent en 6ème/5ème ( et souvent jusqu’en 3ème) des connaissances qui étaient en fait celles qui correspondaient aux niveaux CE2 et CM des programmes d’avant 1970. Si je ne parle pas, ou très peu, de ma « pratique de classe », ce n’est pas « l’expérience » qui me manque. Il s’agit d’un choix politique et théorique de ma part.
J’ai également été à la fin des années 80 l’auteur principal des mathématiques pour la partie secondaire de la série de logiciels de la série ADI : ADIBOU/ADI-collège/ADI-seconde/ADIBAC, série toujours en vente pour la partie primaire/collège. A cette occasion-là, et quelle que soit la manière dont mon travail a été utilisé, j’ai réécrit les programmes et progression de mathématiques de la sixième à la terminale pour donner un « cadre logique » à la programmation de l’interactivité des quelques centaines de séries d’exercices proposés par niveau.
« "La maîtrise des compétences de base" MEN, L’état de l’école 2011, pp. 52-53Célestin Freinet, L'imprimerie à l'école (1927) »
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